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DLF, n° 271
PLEURE, Ô MA LANGUE BIEN-AIMÉE, d’André Cherpillod 2019, 120 pages, 6 €, chez l’auteur, La Blanchetière, 72320
Courgenard (andre.cherpillod@wanadoo.fr).
M. Cherpillod nous propose un nouveau fascicule tout aussi
riche que les précédents. Après avoir abordé l’origine et
l’histoire de la langue française, il analyse les reproches de
difficulté qui sont faits à notre langue. Son plaidoyer en
défense est étayé et enrichi de comparaisons avec d’autres
langues qu’il cite dans leur écriture d’origine (avec phonétique et traduction
bien entendu !). Après avoir analysé les raisons du déclin de notre langue,
il s’élève et argumente contre les réformes auxquelles il est résolument
hostile. Un chapitre est consacré à une explication rationnelle de l’accord
du participe passé. Elle apporte un éclairage fort utile sur des règles dont
l’application est parfois délicate.
On peut ne pas partager toutes les positions de l’auteur, mais on a l’agréable
sensation d’être plus savant après la lecture captivante des ouvrages de
M. Cherpillod.
Marceau Déchamps
LES SECRETS DES MOTS, de Jean Pruvost Librairie Vuibert, 2019, 368 pages, 22,90 €
La couverture de cet admirable ouvrage représente
Le Rat
de bibliothèque (vers 1850) juché sur un escabeau, chargé de
plusieurs livres. À l’instar de celui-ci, combien de documents
notre magicien d’auteur a-t-il consultés avant d’entreprendre
de nous dévoiler les mille et un secrets de nos mots ! Pour
notre « mise en bouche », apprenons l’origine du mot même
de
secret. De
segret au XII
e siècle, du latin
secretum, « lieu
écarté », qui se rattache à
krei, « séparer », issu d’une langue qui a précédé
le latin. Le plus ancien
Homo sapiens, découvert au nord du Maroc, vivant
il y a 300 000 ans, a privilégié les sons, au départ sans doute quelques grognements. Et
mot vient d’ailleurs du latin
muttum, signifiant
« grognement ». Pour que naisse le français, il a fallu tous les emprunts, au
gaulois, au latin, au germanique, à la langue des Vikings, à l’arabe, à l’italien,
à l’anglais, qui vont considérablement enrichir notre langue. Sans oublier
le grec ancien... et qui sait si demain on ne recourra pas au chinois ?
Heureusement, nous rassure l’auteur, la grammaire change peu... Mais
notre langue descend indiscutablement de l’indo-européen. Voici les divers
chapitres : « Du grommellement aux bons mots, faire mutmut... Et puis ? »,
« D’où viennent-ils ? », « Fille ou garçon ? », « D’un genre à l’autre », « Les
mots meurent-ils ? » « Les mots se marient-ils ? », « Les mots vieillissent-ils ? »,
« Il faut écouter les mots », « Les noms propres : un trésor insoupçonné ? »,
« Voulez-vous jouer avec moi ? » « De dictionnaires en dictionnaires ».
Copieux index, de
aage à
zzz. Impressionnante liste des ouvrages du magicien.
Et désormais, vous serez impardonnable d’ignorer le sens de
calvardine, de
ne pas savoir dénommer la
femelle du boa, ni
moudre une vache sans la blesser
ou craindre de
verlaniser.
Alors, bonne dégustation !
Nicole Vallée
EN GARDE, MESSAGER ! TICS LANGAGIERS DES MÉDIAS QUÉBÉCOIS de Gaston Bernier, préfacé par Antoine Robitaille,
édité par Catherine Bernier Les Éditions Sancho Panza / CB, 2018. 182 pages illustrées, index.
25 $ CA. On peut le commander à distance à www.lepressier.com,
à Asulf@globetrotter.net ou à l’auteur (BGaston1@videotron.ca).
Gaston Bernier tient pour acquis que poser le problème de
la langue au Québec, c’est penser à son statut (affichage,
enseignement, recherche, travail, rayonnement, etc.). C’est aussi penser à sa
qualité (bien-dire et bien-écrire, à son enrichissement continuel, à des
échanges constants avec le français international). L’auteur s’attarde ici à
des questions inspirées par les exemples quotidiens des journalistes, des
vedettes médiatisées, des personnalités politiques et des publicitaires québécois.
Environ 350 billets y sont regroupés par thèmes (Néologismes, Anglicismes,
Toponymie, Dérapages et impropriétés, Prononciation, etc.). Une table
alphabétique en facilite l’utilisation. Une vingtaine de caricatures de Rémy
Guenin, dont celle de la couverture, illustrent des notions ou des expressions.
G.B.
ACCORDS PARFAITS. LES PRINCIPALES RÈGLES, de Jean-Pierre Colignon et Jacques Decourt EdiSens, 2018, « En français dans le texte », 128 pages, 16 €
Il convient de s’immerger en toute humilité dans l’étude de ces règles de grammaire
fondamentales, car surgit toujours le moment où même le plus faraud se trouve pris
en faute. Pour les auteurs qui offrent ici leur cinquième édition, la langue est sacrée,
comme elle le fut pour tant d’autres avant eux. Et Malherbe, par exemple, n’aurait
pas toléré que l’on pût mettre en question l’accord du participe passé ; chapitre
périlleux malgré l’annonce obligeante selon laquelle il n’y a pas lieu de se « faire une montagne »
de telle ou telle exception... En effet, les raisonnements et les exemples sont lumineux, mais nous
aurions dû suivre le précepte de Boileau : « Appren[ons] à penser »... avant de nous précipiter
pour écrire ! Cependant, les écrivains du Grand Siècle n’avaient pas, eux, le souci des mots étrangers,
comme ceux qui sont déjà au pluriel dans leur langue d’origine et auxquels on ajoute quand même
un s, pour marquer leur forme francisée :
raviolis, confettis, zakouskis, graffitis, etc. Et que dire des
termes de la francophonie ? Les commissions d’experts visent, à défaut d’accord parfait, « une
harmonie simplificatrice ».
Monika Romani
LE JOUEUR DE MOTS. DICO DU FRANÇAIS AMUSANT d’Alfred Gilder, préface de Jean Orizet, Illustré par Jérôme Cassegrain Éditions Glyphe, 2018, 240 pages, 15 €
Le sérieux du lexicographe n’empêche pas l’appartenance à la tribu des Foudémots,
celle d’Alfred Gilder et d’illustres devanciers parmi lesquels Rabelais, et autant de
contemporains, Alphonse Allais, Raymond Queneau... Si parler est le propre de
l’homme, celui-ci exploite à fond sa nature en jouant jusqu’au vertige verbal. Est-ce
de la littérature (« lis tes ratures ») ? C’est une re-création de la langue, la récompense
du rire grâce à une connaissance exigeante du français dans tous ses états. Car cette ethnie très
particulière n’aime rien tant que s’amuser, elle tricote des acrostiches, fabrique palindromes et
autres panstiches savants qui recèlent messages codés, sous-entendus coquins ou politiquement
incorrects. Elle génère quantité de contrepèteries grivoises, calembours ludiques, anagrammes
ingénieuses, charades, rébus et autres zeugmes.
Mais il arrive que ce dico fou amoureux de vocabulaire nous fasse rire jaune : car une telle virtuosité
n’est pas la chose du monde la mieux partagée !
Monika Romani
AINSI PARLENT LES FRANÇAIS, de Julie Barlow et Jean-Benoît Nadeau Robert Laffont, 2018, 396 pages, 21 €
Voici un couple d’écrivains québécois venus analyser avec autant de subtilité que
de bienveillance ce passionnant sujet : NOUS, les Français. Ils ont été
particulièrement frappés, lors de leurs différents séjours dans l’Hexagone, par notre
anglomanie galopante, devenue même de l’ « anglolâtrie » : en effet, l’anglais a
effectué partout un grand débarquement, affiches, slogans, vitrines, publicité,
médias, allant même jusqu’à ponctuer nos délicieuses
happy hours au café. Ainsi des
pin’s, recordman, baby-foot, et autres terminaisons en
ing, brushing, zapping, pressing, footing, forcing,
etc. Mais ce qui divertit davantage les deux auteurs, c’est que ces termes ne sont que « pure création
française », caricatures « angloïdes » absentes du vocabulaire de nos voisins anglo-saxons.
Curieusement, écrivent-ils, la propagande du pseudo-universalisme de l’anglais s’étale chez nous
sans raison, au moment où le Brexit et l’Amérique de Trump rejettent le multilatéralisme !
Cependant, si nous singeons une pseudo-modernité linguistique, les Québécois, eux, restent fidèles à la francophonie, mot qui signifie, dans son acception originelle, « ceux qui parlent habituellement français », c’est-à-dire 275 millions de locuteurs dans près de 50 pays ! Ne nous inquiétons donc pas
outre mesure si nous gâchons notre belle langue par des ajouts ridicules. D’autres que nous dans
le monde veillent au grain.
Monika Romani
BONHEURS ET SURPRISES DE LA LANGUE, par l’Académie française Philippe Rey, 2018, 288 pages, 20 €
Les membres de la Compagnie se sont livrés «
à des exercices d’admiration pour les
nombreuses manifestations du génie français : finesse, inépuisable inventivité, capacité
métaphorique, humour... » Admirons l’extraordinaire périple autour de la Méditerranée
du mot
abricot. L’
amalgame, l’
alliance et l’
aloi ont circulé entre l’
alchimiste, le
dentiste
et le
bijoutier. Quand Jacques Brel a sauvé de l’oubli le
malandrin, se doutait-il qu’il
remontait au nom de « Lazare » à l’origine du
ladre et du
lazaret ? Tout un chapitre bienvenu est
consacré à l’imparfait du subjonctif, lequel «
donne de l’élégance à tout verbe » quelque trivial qu’il
soit : «
Par terre, on avait mis de la sciure de bois/Pour que les cracheurs crachassent comme il se doit. »
(Charles Trenet.) Quant à l’histoire du mot
louche, elle vous convaincra de la correspondance entre
les yeux et l’âme. La description de la nombreuse famille du verbe
penser donne littéralement le
vertige. Vertige que procure aussi ce savoureux et divertissant hommage à la prodigieuse vitalité
de notre langue française.
Nicole Vallée
LES EXPRESSIONS IDIOMATIQUES, de Salah Mejri, sous le parrainage d’Erik Orsenna Éditions Garnier, 2018, 96 pages, 6,90 €
Le plus récent « petit guide » offert sous les auspices du
Monde. Ces expressions ne
peuvent qu’attirer, surprendre, émerveiller. Proverbes, dictons, formules s’imposent
tels qu’ils sont et que nous devons les utiliser. Pourquoi une colère est-elle « noire »
alors qu’on est « rouge de colère » ? Les « carottes » sont cuites. Et les artichauts ?
Chez nous, la nuit, tous les chats sont « gris ». Ailleurs, ils sont « bruns ». Est-ce le
« petit doigt » qui dénonce, ou bien est-ce un « oiseau » ? «
Pas de ça, Lisette ! » Et les autres prénoms
féminins ? «
À père avare, fils prodigue ! » En Chine, «
Le père tigre n’a pas de fils canin ». «
Le torchon
brûle », certes, et «
Il y a de l’eau dans le gaz », mais est-il si évident que le ménage va mal ? Faitesvous
un immense plaisir : «
Vous ne serez pas volé. » Glossaire, bibliographie et index.
Nicole Vallée
SUR L’ORIGINE DU LANGAGE ET DES LANGUES, de Giovanni Dotoli Hermann, « Vertige de la langue », 2017, 376 pages, 32 €
La question de l’origine du langage et des langues est, certes, fascinante et ce solide
et sérieux ouvrage devrait combler ses lecteurs. Il situe la linguistique parmi les sciences
de la nature, alliant ainsi sciences exactes et sciences humaines.
Index des noms.
Très
importante bibliographie.
Nicole Vallée
BRASSENS. MAIS OÙ SONT LES MOTS D’ANTAN ?, de Jean-Louis Garitte Atlande, 2017, 700 pages, 15 €
La poésie, disait Victor Hugo, c’est «
un univers enfermé dans un homme » : le symbolique,
les métaphores que tout poète s’approprie, car il possède les clés de la création.
Ainsi Georges Brassens a-t-il constitué son dictionnaire personnel, riche d’une mémoire
du passé et d’allusions littéraires pêle-mêle à Apollinaire, Léautaud, La Fontaine, Paul
Valéry et tant d’autres, dans plus de 200 chansons parmi lesquelles
Au bois de mon coeur, bande originale du film de René Clair,
Porte des Lilas. Cet amoureux des mots privilégiait les archaïsmes et mots désuets (
amphitryon, sycophante, sylphe, séraphin, Négus, nabab), mais raffolait aussi
des mélanges argotiques et populaires (
bâfreur, âne bâté, blanc-bec, connard, etc.). Et le grand public,
qui n’est pas spontanément attiré par les ouvrages savants des linguistes, en fredonnant les airs du
compositeur du
Boulevard du temps qui passe, de
Brave Margot, des
Copains d’abord, retrouve
ingénument le monde d’hier...
Monika Romani
BALADE LITTÉRAIRE PARMI LES FIGURES DE STYLE LES RÈGLES INCONTOURNABLES POUR BIEN RÉDIGER, de Jean-Loup Chiflet, Le Figaro Littéraire, Mots & Caetera, 2017, 136 pages, 12,90 €
Saviez-vous que vous maniez la figure de rhétorique avec facilité ? L’oxymore (
un illustre
inconnu...), l’anaphore (
Moi, président de la République...), l’épanorthose (
j’ai trouvé
cela délicieux, plus que délicieux), la catachrèse (
un bras de mer...), l’épenthèse (
où vat-
il ?) et l’hypocoristique (
mon chou...). Jean-Loup Chiflet recense ce qu’il préfère
appeler
figures de style – classées en incontournables, admirables, cachées, sournoises
ou peu fréquentables – au quotidien mais surtout chez les auteurs, de Racine à Queneau. De belles
découvertes, de l’étymologie facile, de l’humour.
Elisabeth de Lesparda
Signalons aussi :
- 10 RÈGLES DE FRANÇAIS POUR FAIRE 99 % DE FAUTES EN MOINS, de Jean-Joseph Julaud (Points, « Le
goût des mots », 2019, 240 p., 7,20 €).
- De Vita Olibrius (S. Aubriot éditeur, 2018, à commander sur le site : www.vitaolibrius.com, 5 €).
• 500 PORTRAITS DE MOTS.
• L’ESPRIT DE LA LETTRE (illustrations de l’auteur).
* * *
- DICTIONNAIRE AMOUREUX DE L’ESPRIT FRANÇAIS, de Metin Arditi (Plon - Grasset, 2019, 686 p., 25 €).
- 15 MINUTES PAR JOUR POUR JOUER AVEC LES MOTS, de Line Sommant (Larousse, 2019, 160 p., 10,95 €).
- DICTIONNAIRE DU TENNIS, de Valerio Emanuele, préface d’Henri Leconte (Honoré Champion, « Champion
les dictionnaires », 2019, 754 p., 29 €).
- De Daniel Lacotte :
• MÉTAPHORES JE VOUS AIME. LE DICO DES BELLES IMAGES (Éditions First, 2018, 256 p., 16,95 €).
• D’OÙ VIENT CETTE PIPELETTE EN BIKINI QUI MARIVAUDE DANS LE JACUZZI AVEC UN GRINGALET EN
BERMUDA ?
(Points, « Le goût des mots », 2019, 288 p., 7,40 €).
- COQUELICOT ET AUTRES MOTS QUE J’AIME, d’Anne Sylvestre (Points, 2019, 220 p., 11,90 €).
- UN BONBON SUR LA LANGUE. ON N’A JAMAIS FINI DE DÉCOUVRIR LE FRANÇAIS !, de Muriel Gilbert (La librairie
Vuibert, 2018, 224 p., 17,90 €).
LE LA MINISTRE EST ENCEINTE, de Bernard Cerquiglini (Seuil, 2018, 208 p., 16 € ; liseuse : 11,99 €).
- PENSER LES MOTS, DIRE LA MIGRATION, de Laura Calabrese et Marie Veniard (éds) (Academia, 2018,
204 p., 20 € ; liseuse : 14,99 €).
- Aux Éditions Magnard, 2018 :
• GREVISSE DU COLLÈGE. GRAMMAIRE, ORTHOGRAPHE, VOCABULAIRE, CONJUGAISON, LITTÉRATURE, collectif (448 p., 9,90 €).
• LE GREVISSE DE L’ENSEIGNANT. 1 000 EXERCICES DE GRAMMAIRE, de Jean-Christophe Pellat et Stéphanie
Fonvielle (416 p., 16,80 €).
- RÉDIGER UN TEXTE ACADÉMIQUE EN FRANÇAIS, de Sylvie Garnier et Alain Savage (Ophrys, « L’Essentiel
français », 2018, nouvelle édition, 258 p., 29 €).
Nos adhérents publient
- Renée Bonneau vient de
publier son dernier roman
historique, Mortel Caravage
(Nouveau Monde Éditions,
204 p., 16,90 €), qui se passe
à Berlin (1941-1945), au
moment où Goering pille les
collections.
- Nadine Najman publie aux
éditions L’Harmattan 1870-
1872 dans la Marne, l’Aisne
et les Ardennes. La guerre, la
défaite française et l’occupation
allemande à travers les récits
des témoins directs (2019,
236 p., 24 €).
- François Taillandier met en
scène l’enfant qu’il a été, se
penche sur ses origines et
donne des clefs pour
comprendre notre époque
dans François, roman,
(Stock, 2019, 288 p., 19 €).
- Aux éditions Glyphe, Éric
Martini publie des extraits des
Lettres d’Italie, du président
de Brosses (2018, 60 p.,
10 €).
- Dans Le Dévorant (n° 293),
voici un texte d’Henri Girard :
« Les ânons de Panurge ».
- Louis Bachoud annonce son
nouvel ouvrage : Évangile
selon Saint Finance (Éditions
Valensin, 150 p., 20 €), où
« notre planète [est] martyrisée
par l’usage de la fausse monnaie
utilisée dans la vie quotidienne... ».
- Le docteur Gérard Leborgne
réunit 120 Réponses d’un
médecin de terrain aux
pathologies d’aujourd’hui
(Éditions du Dauphin,
nouvelle éd., 2019, 320 p.,
20 €), et nous recommande
les oeuvres d’Aki Shimazaki,
écrites en français par cette
Japonaise émigrée au Canada.
- Xavier Bruckert raconte dans
une langue juste et poétique
Le Chant des hommes, histoire
de leur longue marche semée
de périls et de surprises
(Éditions Les Lisières incertaines,
2019, 270 p., 20 €).
- Christian Tremblay est le
coordinateur de Plurilinguisme,
entreprises, économie
et société, préfacé par Claude
Truchot
(Bookelis.com, 2018,
230 p., 13 €).
- L’Enterrement d’Antoine
Beaumann, tel est le roman
d’Anne de Zeere (Amazon,
2019, 71 p., 8,33 €). La vie
tranquille du héros se transforme
lorsqu’il apprend le
retour de sa soeur en France.
- In Moliere Re-Envisioned/
Ressources et renouvellement
moliéresques, sous la direction
de Mary Jo Muratore
(Hermann, « Vertige de la
langue », 2019, 484 p. 36 €),
Philippe Le Pape a rédigé un
article : « L’étrange secret de
Tartuffe », historique de la
pièce et origine du nom.
- Voici Parfums de clé, d’Arthur
Gardine, « roman qui s’apparente
à un thrilleur, présenté dans une
nouvelle orthographe simplifiant
les doubles consonnes inutiles »
(Collection Le Parc, 2019,
202 p., 14 €).
- Art et Poésie de Touraine
(n° 235) nous présente,
comme souvent, de délicieux
poèmes de Guy Péricart.
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