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DLF, n° 278
LES MOTS QUI ONT TOTALEMENT CHANGÉ DE SENS d’Alice Develey et de Jean Pruvost Le Figaro littéraire, « Mots & Cætera », 2020, 128 pages, 12,90 €
Avec précision et de manière plaisante, les auteurs, Alice Develey, journaliste
au
Figaro littéraire, et Jean Pruvost, professeur émérite de l’université de
Cergy-Pontoise, nous font découvrir comment des mots de la langue de
tous les jours se sont profondément métamorphosés pour arriver à avoir
un sens totalement différent de leur sens d’origine.
Vous prendrez bien un « apéritif » ? Oui, volontiers, mais dans quel sens ? Celui défini
par Furetière dans son
Dictionnaire universel, publié en 1690, ou dans le sens actuel ? Dans
les deux cas, le verbe latin
aperire marque bien l’idée d’ouverture, mais vous découvrirez
que la finalité n’est pas la même ! Classés par ordre alphabétique, c’est plus d’une
cinquantaine de mots qui font leur apparition sous un jour nouveau. Nous voyageons
ainsi depuis la lettre A avec le mot
apéritif en ouverture jusqu’au Z de
zigzag !
La lettre
C vous permettra de saisir au passage votre
chance avec Jules César en personne !
Avec la lettre
D, vous serez dépaysé en partant à dos de
dromadaire ! Les mots les plus
inattendus se succèdent pour notre plus grand bonheur, celui de découvrir un aspect
méconnu de notre langue.
Les auteurs complètent l’ouvrage avec de petits intermèdes fort intéressants qui décrivent
les mécanismes de l’évolution de notre langue et de son lexique. L’ouvrage est
véritablement « étonnant » ! Là aussi vous serez certainement « étonné » de l’origine de
ce mot. Cela vous permettra sans nul doute de trouver ce livre « du tonnerre » ! Un ouvrage
à mettre entre toutes les mains !
Philippe Le Pape
LE FRANÇAIS UNE LANGUE POUR LE MONDE d’Alain Sulmon, préface de Jean Pruvost Éditions Glyphe, « Le français en héritage », 2020, 120 pages, 14 €
Les lecteurs de la revue retrouveront avec plaisir la bonne douzaine
d’articles publiés par l’auteur depuis 2015. Il y soulignait la vocation de
notre langue à l’universel, à travers les institutions ou les événements
sportifs médiatisés. De Tokyo à Buenos Aires, en passant par l’Afrique,
il y recensait
« les voix du monde », ces écrivains qui choisirent d’écrire
dans notre langue, «
langue de la liberté », «
langue des émotions », «
langue
de la musicalité ». Et il prouvait que le français s’épanouit aussi bien dans des genres que
l’on ne peut plus qualifier de mineurs – le cinéma, la BD, le théâtre de boulevard, le
roman d’aventures et la chanson, pour laquelle M. Sulmon a manifestement un petit
faible. Résolument optimiste, la dernière partie de l’ouvrage résume les qualités universelles de notre langue : langue de raison, de par son ordre et sa construction ; langue de
l’abstraction, permettant la conceptualisation ; langue de la distanciation, qui offre, surtout
à l’écrit, la possibilité de se détacher, de se «
dépayser de soi-même » ; langue de la respiration,
ou plutôt ponctuation, dont le placement différent peut multiplier le sens d’une phrase,
et enfin, langue de l’imagination, de l’image, de la métaphore, pourrait-on dire, car quelle
autre langue mettrait notre imaginaire en ébullition sinon celle dans laquelle on peut
écrire «
il poussa un profond soupir » ou «
elle lui jeta un regard noir » ? Faut-il donc se réjouir
ou s’alarmer pour notre langue ? S’alarmer, oui, si on s’arrête à la domination croissante
de l’anglais, trop aisément acceptée par les Français de France, mais non, si le français
continue à se mondialiser et à être choisi pour sa malléabilité et son ouverture aux autres.
OEuvrons donc en ce sens !
Elisabeth de Lesparda
JE PARLE COMME JE SUIS. CE QUE NOS MOTS DISENT DE NOUS de Julie Neveux Grasset, 2020, 304 pages, 20 €, liseuse 14,99 €
À l’ère numérique, comment répondre à l’injonction socratique «
connais toi
toi-même » ? Décliner son identité, n’est-ce pas devenu une entreprise
de plus en plus complexe ? «
Parlez-moi, et je vous dirai qui vous êtes », répond
Julie Neveux, avant de nous entraîner dans un passionnant programme
de déchiffrement, à la manière d’une enquête psychanalytique. Pouvait-on
imaginer qu’une jeune linguiste, enseignante à la Sorbonne, allait nous
offrir les clés de dévoilement de notre époque virtuelle, grâce à une analyse pointue des
termes neufs et parfois bizarres qui envahissent à toute vitesse notre vocabulaire ? C’est
que nous sommes (presque) tous connectés à internet ; ce que nous faisions il y a peu
avec nos dix doigts s’appelle désormais le
digital. Notre cerveau hélas peut
bugger, notre
existence souffrir des
slashing, nous risquons la
nomophobie, la
fomo, pire encore l’état de
swombie, à force de vivre au rythme de notre smartphone devenu la prothèse de notre
main. Cette analogie du citadin à la machine nous prépare-t-elle à devenir « l’homme
augmenté » promis par les transhumanistes ?
Selfie, mon beau
selfie, sauras-tu me rassurer ?
Petit
chatbot, à l’aide !
Happn, donne-moi l’aventure !
Avec un regard critique toujours teinté d’ironie, l’auteur parcourt certains aspects de la
cyberdépendance, amour, vie sociale, travail, environnement. Et l’inquiétude n’est jamais
absente, car toute création de mot exprime un rapport problématique à la vie réelle, dans
la mesure où une grande partie de notre existence se trouve désormais filtrée par des
écrans.
Monika Romani
BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? CABINET DE CURIOSITÉS DE LA LANGUE FRANÇAISE de Françoise Nore Les Éditions de l’Opportun, 2020, 262 pages, 16,90 €
Précieuse découverte que cet archipel du bizarre et de ses îles dont
Françoise Nore nous trace un itinéraire ! Ce répertoire des curiosités,
raretés, bizarreries, chausse-trappes, cocasseries de la langue française
ressemble à une carte du Tendre qu’on peut très bien consulter dans le
secret de son cabinet. Voici les adjectifs qui n’en font qu’à leur tête et changent de sens en changeant de position : ne pas confondre un grand homme « qui a
fait des choses importantes » avec un homme grand, « de haute stature » ; un passé simple
qui n’est pas aussi ennuyeux qu’on pourrait le croire et qui devient comique quand, en
visitant Turin, « des touristes suèrent » ou que « des ébénistes moulurent le café ».
Bien entendu, vous trouverez l’îlot des mots étrangers qui ne peuvent cacher leur origine
comme
tapas, spaghetti, week-end ou
ersatz, mais aussi tous ces mots qui viennent de la rue
et qui constituent l’argot, cette forme si vivante de la langue qui s’encanaille et vieillit
vite. Ils ne sont pas loin des mots réfractaires à toute étymologie comme
billevesées et
rouflaquettes,
coqueluche ou
rombière. Poursuivons notre escapade parmi les verbes disparus
mais qui survivent grâce à leurs dérivés et remplaçants ou entrons dans les familles de
mots très étonnantes. Ainsi,
officine et
usine sont frères ou cousins
« puisque officine
a été
emprunté au latin officina, “
atelier, fabrique”
et qu’usine
vient d’officina
par le latin vulgaire ».
Découvrez les origines de
d’emblée et du
boucher qui vous ficelle un bon rôti.
Ce n’est ici qu’un survol de cet ouvrage particulièrement original, d’une richesse
incomparable et qui ne peut que vous offrir une foule extraordinaire d’informations sur
notre langue, son histoire, ses caprices, ses avatars, ses rapprochements, ses fantaisies, ses
contaminations, mais aussi ses polissonneries, ses pièges et ses contradictions dans les
domaines les plus inattendus, de la philologie authentique à la conversation du coin de
la rue avec les mots du jour. Un vrai bonheur de parcourir et déguster cet ouvrage, royaume
où se bousculent tant de surprises !
Jacques Dhaussy
POUR L’INTELLIGENCE DES POÈTES. L’ORIGINE DES MOTS PAR LA MYTHOLOGIE de Françoise Frontisi-Ducroux Belopolie, 2019, 87 pages, 12 €
Chez l’être humain, se repérer dans le cadre de son environnement prend
sa source dans le langage. Dans ce livre, la traduction du repérage s’inscrit
dans la mythologie. Le dieu du vent, Éole, en est un des exemples à partir
duquel le terme
éolien a été dérivé. La poésie y est également abordée
avec les chanteurs agrestes mis en scène par Théocrite, puis par Virgile.
La palinodie, ayant pour sens « rétractation », est dérivée d’un poème sur la guerre de
Troie, écrit par Stésichore d’Himère, poète lyrique, qui dut le réécrire différemment sous
l’injonction que lui en fit Hélène, fille de Zeus. Un certain nombre de mots, inscrits dans
nos dictionnaires, y sont présentés avec l’étude de leur origine mythologique tels
anthologie,
bucolique, orchidée, chimère, typographie. Le terme
analyse a été inventé par Pénélope qui,
dans l’attente du retour d’Ulysse, tissait le jour et déliait son travail la nuit. L’analyse, en
tant que procédure cognitive, en est dérivée.
Marcienne Martin
MORDICUS. NE PERDONS PAS NOTRE LATIN ! de Robert Delord Les Belles Lettres, 2019, 280 pages, 17 €, liseuse 11,99 €
C’est un enseignant amoureux du latin, qu’il a toujours enseigné avec ferveur, qui constate
avec tristesse l’érosion rapide, ces vingt dernières années, des heures allouées à sa discipline.
Le prof rebelle a beau s’exclamer : «
Laudator temporis acti » (traduit librement : « C’était
mieux avant »), force est de constater que le poids de la hiérarchie ne lui laisse d’autre choix que de prendre son bâton de pèlerin et promouvoir les Langues et
Cultures de l’Antiquité (LCA), ultime option demeurée depuis la réforme
de 2016. Et pourtant ! L’Antiquité intrigue énormément ; les élèves sont
fascinés par ces récits à la lisière du mythe et de l’Histoire, Hannibal et
ses éléphants, les Romains versant du sel sur les ruines de Carthage,
Calpurnia et son rêve prémonitoire, Romulus et Remus, Ben Hur et tant
d’autres ; il y en a toujours un pour oser demander «
si ça s’est vraiment
passé comme ça ». Antidote à la société du zapping et de l’obsolescence, la découverte de
ce monde fabuleux mais géographiquement proche de nous est de nature à éveiller chez
certains la nostalgie de racines euro-méditerranéennes et à confronter paisiblement le
polythéisme gréco-romain aux trois religions monothéistes.
Qui a dit « langue morte » ? Quelle erreur ! Cet idiome que les institutions académiques
cherchent à ensevelir n’a jamais été aussi vivant. Paradoxalement, moins le latin occupe
les salles de classe, plus il enrichit l’imaginaire d’une génération née avec le numérique.
Après le cinéma et la télévision, il existe désormais un accès quasi illimité aux ressources
archéologiques, documentaires et artistiques, les plus grands musées du monde sont
ouverts à notre curiosité, l’égalité des citoyens face à la civilisation gréco-romaine est
parfaitement accomplie ! S’il faut reconnaître à la technologie ce pouvoir quasi magique
de rédemption, qui regrettera encore le bon vieux Gaffiot de 1934 ?
Monika Romani
LE FRANÇAIS EST À NOUS ! PETIT MANUEL D’ÉMANCIPATION LINGUISTIQUE de Maria Candea et Laélia Véron La Découverte, 2019, 240 pages, 18 €, liseuse 12,99 €
Dans le titre de votre essai, vous avez bien annoncé « émancipation » ? Il
est vrai que ce projet est parfaitement accompli, toutes les pages sont agitées
par un grand vent de liberté. Voici une lecture stimulante qui ne se croit
pas tenue de nous rappeler que le français est en péril, des analyses
revigorantes et néanmoins fort sérieuses, développées par deux universitaires
qui rajeunissent le traitement de la linguistique.
En premier lieu, il y a la remise en cause de l’ « ancienne mythologie » selon laquelle
notre langue est la plus belle du monde, attitude cocardière susceptible de produire des
effets secondaires, telle l’insécurité linguistique, cette angoisse de manifester à travers sa
propre expression verbale une marque d’infériorité sociale.
Un exemple du « bon usage » qui fait peur est la vieille querelle entre aller « au coiffeur »
et « chez le coiffeur ». Les autrices examinent longuement le statut de ces deux prépositions
concurrentes, et si la réponse des réseaux sociaux est catégorique, celle des grammairiens
n’est en rien décisive ! Mais que penser des néologismes, du franglais, du parler jeune et
des SMS ? À travers un salutaire parcours historique, nous découvrons que ces maux
attribués à nos contemporains se sont manifestés, à leur manière, à chaque époque. La
supposée pureté de la langue reste cantonnée dans un idéal platonicien, tandis qu’une
robuste vitalité se moque des traditions. Cependant, ces préoccupations ne sont-elles pas
déjà dépassées ? En effet, nous appartenons désormais à l’ère des humanités numériques ; de nouvelles technologies galopantes sont en train de métamorphoser nos rapports à
l’oral et à l’écrit. Ces défis vont bouleverser l’enseignement du français et des langues,
approfondir encore la diversité entre les sociétés, au risque de voir apparaître une forme
de désarroi identitaire.
Monika Romani
Signalons aussi :
- UN PETIT DESSIN POUR PARLER COMME LES GRANDS, de Sandrine Campese (Le Robert, 2020, 128 p., 12,90 €).
- LES IRRÉDUCTIBLES MOTS GAULOIS DANS LA LANGUE FRANÇAISE, de Jacques Lacroix (Éditions Lemme
EDIT, 2020, 156 p., 19 €).
- UNE BRÈVE HISTOIRE DU SENS. PRATIQUES ARTISTIQUES ET SOCIALES DE LA PRODUCTION DE SENS, de Mircea Bochis
et Marcienne Martin
(L’Harmattan, « Nomino ergo sum », 2020, 274 p., 30 €).
- NOUVEAUX HORIZONS POUR LA NÉOLOGIE EN FRANÇAIS. HOMMAGE À JEAN-FRANÇOIS SABLAYROLLES, sous la
direction de Giovanni Tallarico, John Humbley et Christine Jacquet-Pfau, préface de Jean Pruvost (Éditions
Lambert-Lucas, « La lexicothèque », 2020, 264 p., 30 €).
- LA STORY DE LA LANGUE FRANÇAISE. CE QUE LE FRANÇAIS DOIT À L’ANGLAIS ET VICE-VERSA, de Jean Pruvost (Tallandier,
2020, 368 p., 20,90 €).
- LA GUERRE AU FRANÇAIS, de Marie-Hélène Verdier (Les éditions du Cerf, 2018, 130 p., 12 €).
* * *
- UNE HISTOIRE DE LA PHRASE FRANÇAISE, sous la direction de Gilles Siouffi (Actes Sud - Imprimerie nationale
Éditions, 2020, 376 p., 39 €).
- LES CURIOSITÉS DE LA LANGUE FRANÇAISE POUR LES NULS, de Jean-Loup Chiflet (Éditions First, 2020,
342 p., 22,95 €).
- DONNER SA LANGUE AU CHAT ET AUTRES EXPRESSIONS SUR NOS FÉLINS BIEN-AIMÉS, de Bertrand Meyer-Stabley
(Éditions Bartillat, 2020, 264 p., 16,49 €).
- 200 MOTS ÉTRANGERS QUE LE FRANÇAIS A ADOPTÉS, de Marie-Dominique Porée (FIRST Éditions, 2020, 176 p.,
7,95 €).
- ET CETERA, ET CETERA. LA LANGUE FRANÇAISE SE RACONTE, de Julien Soulié et M. la Mine (Éditions First, « La vie
en bulles », 2020, 144 p., 18,95 €).
- COMME ON DIT CHEZ NOUS. LE GRAND LIVRE DU FRANÇAIS DE NOS RÉGIONS, de Mathieu Avanzi, Aurore Vincenti et
Alain Rey
(Le Robert, 2020, 240 p., 24,90 €).
- FRANCOPHONIE POUR L’AMOUR D’UNE LANGUE, de J.M.G. Le Clézio, Louise Mushikiwabo, et al. (Nevicata,
2020, 74 pages, 9 €, liseuse 6,99 €).
- LEXIQUE RAISONNÉ DU FRANÇAIS ACADÉMIQUE. T. I LES COLLOCATIONS VERBO-NOMINALES, de Catherine Fuchs et
Sylvie Garnier
(Éditions Ophrys, 2020, 320 p., 18 €).
- LE TU ET LE VOUS. L’ART FRANÇAIS DE COMPLIQUER LES CHOSES, d’Étienne Kern (Flammarion, 2020, 206 p., 19 €).
- LE GRAND QUIZ DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE. JOUEZ ET TESTEZ-VOUS ! (Le Figaro littéraire, 2020, 96 p., 7,90 €).
- ÉTYMOLOGIE POUR SURVIVRE AU CHAOS, d’Andréa Marcolongo (Les Belles Lettres, 2020, 336 p., 17,50 €).
- NOUVEAU DICTIONNAIRE GÉNÉRAL BILINGUE FRANÇAIS-ITALIEN/ITALIEN-FRANÇAIS TOMES I-IV, par Giovanni Dotoli
(Éditions Hermann, 2020, 380 €).
Nos adhérents publient
- Bernard Fournier nous
annonce À l’écoute des
quatuors de Beethoven
(Buchet/Chastel, 304 p.,
20 €), son nouveau livre,
dans lequel il met « en
évidence les originalités et les
innovations décisives de ces
chefs-d’oeuvre ».
- Vous pouvez acquérir en
souscription le nouveau
roman, inspiré d’une histoire
vraie, d’André-Jérôme Gallego,
Le destin gravé dans la cire...
1940...Juif & Franc-maçon.
Demande à adresser à F.I.D.
« Les Éditions de l’IXCEA »,
Villa résidence, 64 bis, rue
Ernest-Renan, 31200 Toulouse
(un exemplaire : 19,50 €,
deux ex. : 35 €, l’exemplaire
suivant : 15 €, port gratuit),
editions.ixcea. france@aol.fr.
- Alain Dubos est devenu
auteur-illustrateur-maquettiste-
éditeur... pour rééditer
son premier ouvrage, né en
1980, La Rizière des barbares
(Bookelis, Fnac, 458 p.,
12,50 €). « L’odyssée de Vong
le Khmer, de Maï la Vietnamienne,
de leurs enfants, de
leurs proches et de leurs amis est
une histoire vraie. »
- Il est prêt, il arrive... le
nouvel essai d’Axel Maugey :
L’Esprit français, de Mme de La
Fayette à Jean d’Ormesson.
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