Le CERCLE PHILIPPE-SENGHOR
Défense de la langue française
Président : Jean Dutourd, de l’Académie française

présentent la charte du

CONCOURS SCOLAIRE FRANCOPHONE
Philippe -SENGHOR
2009

Inauguré en 2006, dans le cadre de l’« année Senghor », ce concours a pour but d'illustrer l'invention et la créativité en langue française des élèves des écoles élémentaires francophones. Il est ouvert à tous les élèves du dernier cycle de l’enseignement élémentaire d’écoles francophones des pays ayant accepté d'y participer.

Il est placé sous le Haut Patronage des ministres de l'Éducation et de la Culture des pays participants. Les ambassades en France de ces pays ainsi que les services culturels et linguistiques des ambassades de France dans ces pays sont invités à lui apporter leur soutien logistique.

Ce concours propose aux élèves candidats de réaliser un ouvrage littéraire individuel ou collectif consistant à achever une histoire commencée par un écrivain francophone. Ce récit est illustré par son auteur ou par d’autres enfants de son choix.

Les professeurs s'engagent à encourager et à soutenir le travail de leurs élèves, sans se substituer à eux, en respectant l’expression et l’imaginaire propres à l’enfance.

Les manuscrits des gagnants sont édités par le Cercle Philippe-Senghor en français et, lorsque cela est possible et opportun, dans la langue la plus usitée de leur pays.

Les pays participants le Bénin, le Burundi, Haïti, le Liban, Madagascar, le Mali, le Maroc, le Québec, la Roumanie, le Sénégal, le Togo et la Tunisie se chargent de la diffusion la plus large possible de ces livrets. Leur réimpression est libre de droits.

Ces livrets sont regroupés dans un coffret présentant l'ensemble de chaque édition du concours.

Des personnalités, des institutions culturelles et éducatives, ainsi que des médias – radios, télévisions, presse écrite – sont associés au concours et contribuent à sa notoriété.

Historique
Philippe Maguilen Senghor (décédé le 7 juin 1981) et Colombe Anouilh d’Harcourt (fille de Jean Anouilh, auteur dramatique français) se sont rencontrés à l’école en 1973.
Colombe est à l’origine de ce concours scolaire francophone, auquel elle a donné le nom de son ami Philippe, fils du premier président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor, père de la Francophonie et membre de l’Académie française.
Ce concours est également organisé en mémoire de l’amitié et de l’admiration mutuelle qui unissaient leurs pères.
DLF
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